Le thé est la principale exportation du Sri Lanka, le deuxième fournisseur de thé noir sur le marché international selon l'agence agricole des Nations Unies (FAO).
Dans une nation en faillite toujours en train de souffrir d'une crise économique de 2022 et de troubles qui ont évincé le président Gotabaya Rajapaksa, les exportations de thé de 1,3 milliard de dollars sont des revenus étrangers vitaux.
Mais derrière les plantations pittoresques se cachent des conditions que les experts disent à la frontière de l'esclavage
Les cueilleurs de l'île proviennent principalement de la minorité tamoule et sont arrivés de l'Inde voisine sous le régime colonial britannique.
Généralement, un cueilleur de thé est payé environ 20 jours par mois -- un travail épuisant d'arracher 20 kilogrammes (44 livres) de minuscules pointes de feuilles de thé pour chaque poste.
Les cueilleurs disent que le salaire à emporter est souvent d'environ 20 000 roupies (66 $), juste en dessous du salaire mensuel minimum de 21 000 roupies.
Alors que certaines compagnies de thé paient des salaires plus élevés, les syndicats de thé disent que les travailleurs des plantations sont les travailleurs les mieux payés du pays.
📷 @ishara.kodikara
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