Comment expliquer une telle convergence de virus ? Une partie de la réponse est à aller chercher auprès d’un petit moucheron qui ne dépasse pas 4 mm mais volette partout dans le monde : le genre culicoïde. « On pense que le réchauffement climatique impacte les abondances et la compétence des populations à transmettre le virus », avance Claire Garros, qui étudie ces hypothèses dans le cadre du projet Rivoc, financé par la région Occitanie et piloté par l’université de Montpellier.
Mais alors, pour se prémunir de ces propagateurs de virus, ne suffirait-il pas de s’en débarrasser ? Plus facile à dire qu’à faire. Au final, la seule solution efficace serait la vaccination des bêtes, mais c'est une manœuvre compliquée pour les éleveurs, et qui a un coût important.
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(Extraits articles de presse) Libération, le Monde, L'Equipe, Télérama, Première, AFP, Reuters, AP News
lundi 9 septembre 2024
Une accumulation de maladies inédite et inquiétante pour le bétail en France
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