Le comédien de 57 ans poursuit sa carrière hyperactive et s’interroge sur le temps qui passe et sur sa finitude.
Derrière ses lunettes qu’il ne quitte plus, son regard se trouble parfois. A 57 ans, celui dont les proches s’accordent à estimer qu’il ne change pas, que «le vedettariat ne l’a jamais perverti», dixit José Paul, metteur en scène et compagnon de route au théâtre, n’est toutefois plus tout à fait le même. Logique, il vieillit. Il apprend surtout, peu à peu, à prendre du temps pour lui, à rompre avec une hyperactivité professionnelle. Le sentiment de finitude se devine derrière ses mots. Il parle avec tendresse de ses parents. Son père, 87 ans, ancien ingénieur, à qui il a demandé quand le succès est arrivé : «Est-ce que ce qui m’arrive te rend heureux ?» La réponse fut «Oui, bien sûr ! Vas-y !» Et Guillaume de Tonquédec de reconnaître : «Ça m’a libéré. Je crois que j’avais besoin de cette validation.»
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📸 Roberto Frankenberg
✍️ Eva Roque
(Extraits articles de presse) Libération, le Monde, le Figaro, L'Equipe, Télérama, Première, AFP, Reuters, AP News
mercredi 25 septembre 2024
Le portrait de Guillaume de Tonquédec
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