Audrey Diwan confie à Première ce qui l'a poussée à réadapter Emmanuelle, 50 ans après le film de Just Jaeckin, avec Noémie Merlant :
"Aux deux tiers du roman d’Emmanuelle Arsan, j’ai découvert cette centaine de pages peuplées de questions sur l’érotisme. Et c’est ce qui a constitué une forme de déclic. Ces pages m’ont poussée à me demander ce qu’est l’érotisme aujourd’hui. Comment travaille-t-on cet érotisme ? Comment raconter et transmettre le plaisir ? (…) Un film érotique ne peut désormais plus se concentrer sur les scènes sexuelles."
Le succès de Cinquante nuances de Grey l'a-t-il inspirée ? Pas du tout !
"Je ne suis pas une réalisatrice de la provocation, répond-elle. Dans mes films, je ne cherche jamais à provoquer pour susciter une réaction. Il y a dans ce geste une forme d’instrumentalisation du spectateur que je n’aime pas. Je cherche précisément l’inverse : ne rien lui imposer."
La suite est à lire en story, à la une, et dans notre hors-série #Première n°27, spécial Emmanuelle.
(Extraits articles de presse) Libération, le Monde, le Figaro, L'Equipe, Télérama, Première, AFP, Reuters, AP News
samedi 21 septembre 2024
Comment raconter et transmettre le plaisir
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