«Je ne ferai pas de la variète, déso j’aime trop parler de sexe !» Le ton est donné. Et c’est vrai que sur les quatorze titres d’Adieu les Monstres, il est très souvent question de ça. Et ça fait du bien d’entendre une jeune femme parler de sexe sans se cacher derrière son petit doigt. Malgré les Nuits d’une demoiselle de Colette Renard, Régine, Lio ou Yelle, ce n’est toujours pas si évident. Les clichés ont la peau dure et un homme sera toujours un Dom Juan quand une femme libérée ne bénéficiera jamais de la même clémence. Réjouissons-nous donc que Kalika «draine [son] corps ou [qu’elle] ne [sache] plus où donner de la langue, [car] oui [elle] a sucé tous les glaçons» ! Parler de cul n’est plus l’apanage des mâles plus ou moins toxiques et espérons que l’album de @kalikamusique libère un peu plus la femme que Moulinex !
📸 @robinvoisin
✍️ @dabrotoine
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