Amélie Mauresmo, l’ex-star du tennis français, et figure LGBT à ses dépens, tient les rênes de Roland-Garros.
«Ma carrière de joueuse ? J’ai l’impression que c’était il y a 1 000 ans. C’était une autre vie.» @amemauresmo79
La femme sous nos yeux a-t-elle des failles ? Celle qui vient, ce matin-là, en bonne marathonienne, d’avaler 28 bornes à un rythme de croisière de 12,44 km/h, puis d’arriver à notre rendez-vous en petites foulées, les cheveux encore humides. Celle qui, plus jeune, a pris des airs de Vénus dorée de la raquette et de machine à exploits ailée. Comprendre : elle fut la première tenniswoman française à devenir numéro 1 mondiale pendant trente-neuf semaines, la seconde (après Mary Pierce) à remporter deux titres du Grand Chelem (l’Open d’Australie et Wimbledon), la première femme à devenir capitaine de l’équipe testostéronée de Coupe Davis, puis coach d’un membre du «Big Four» (Andy Murray). Respiration. La première femme nommée, en décembre 2021, à la tête de Roland-Garros. Et l’une des premières labellisées Femmes puissantes par Léa Salamé. Amélie Mauresmo a-t-elle des failles ?
Lire le portrait en entier sur Liberation.fr
📸 Markel Redondo
✍️ Stella Ladouche
(Extraits articles de presse) Libération, le Monde, le Figaro, L'Equipe, Télérama, Première, AFP, Reuters, AP News
samedi 27 mai 2023
Amélie Mauresmo
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