A quoi sert-il d’être radical si on ne gouverne pas ?» balaie-t-il en débarquant. Les reproches glissent sur le costume du socialiste venu débattre des «générations irréconciliables», clin d’œil à la formule de son ancien Premier ministre Manuel Valls, qui parlait de «gauches irréconciliables». Vieux boomers contre jeunes ? «Je n’ai jamais pensé que les gauches étaient irréconciliables, je ne pense pas davantage que les générations le soient. Le rôle de la politique, c’est de réunir pour aller vers un destin commun, répond Hollande. Sinon, ça voudrait dire qu’il y aurait pour la jeunesse une fatalité à ne jamais se faire entendre car les plus âgés sont trois fois plus nombreux.»
L’ancien chef de l’Etat admet toutefois une prise de conscience trop tardive de «la génération des boomers» sur l’impératif écologique. Peut-on pour autant tolérer les jets de peinture sur des œuvres ou les autoroutes bloquées ? «Je ne condamne pas s’il y a le sentiment que si on ne le fait pas, on ne respectera pas les objectifs en matière de climat, répond Hollande, à condition de se placer dans le champ démocratique.»
👉 L'intégralité de l'article de Charlotte Belaïch est à lire dans l'appli Libé
📷 François Hollande, à la Sorbonne ce mercredi 31 mai. @albertfacelly
L’ancien chef de l’Etat admet toutefois une prise de conscience trop tardive de «la génération des boomers» sur l’impératif écologique. Peut-on pour autant tolérer les jets de peinture sur des œuvres ou les autoroutes bloquées ? «Je ne condamne pas s’il y a le sentiment que si on ne le fait pas, on ne respectera pas les objectifs en matière de climat, répond Hollande, à condition de se placer dans le champ démocratique.»
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