Réfugié somalien, le mannequin Issack Abdi Sadik défile pour Louis Vuitton mais continue parfois de dormir dans la rue.
Un peu de rêve s’est engouffré dans la vie d’Issack Abdi Sadik en septembre dernier. Son histoire a par endroits des airs de conte de fées. Après avoir traversé l’Afrique et l’Europe depuis la Somalie, obtenu l’asile en France, voici le jeune homme de 24 ans à Paris, sans famille et sans argent. Il se réveille un matin sur un trottoir du XVIIe arrondissement. Une femme qui travaille dans le quartier lui annonce que sa beauté pourrait lui faire toucher du doigt un monde de falbalas. Quelques jours plus tard, Issack Abdi Sadik signe un contrat avec Elite, la plus grande agence de mannequins du monde. Les podiums se dessinent à l’horizon. Olivier Rousteing, directeur artistique de Balmain, lui offre son premier show. Le voilà qui marche dans la cour des grands.
Mais l’autre face de la vie d’Issack Abdi Sadik est moins heureuse, ponctuée de retours à la rue, de bagarres, de violence, de solitude et d’une question, mélange d’espoir et de découragement : de quoi sera fait demain ?
Lire son portrait en entier sur le site Liberation.fr
✍️ @marieottavi_
📸 Jérôme Bonnet @jjjbonnet
Ouais et maintenant il va faire 5 mois ferme car il a agressé sexuellement des femmes. Quelle justice pourrie, c’est une forme de déshumanisation de la femme d’enfermer leurs agresseurs quelques mois pour les libérer dans la rue où ils pourront reprendre leurs agressions. Je suppose que ça ne va pas être de sa faute maintenant quand on est à la rue on a pas le choix d’agresser des femmes et filles innocentes.
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