Elle se donne à l’antenne comme dans la vie, à fond. Après son départ de “L’heure bleue” sur @franceinter, Laure Adler redouble de projets. Et envisage même de retourner à l’université… Entretien.
« J’aime beaucoup la #télé, et je ne regarde pas qu’Arte. C’est pour moi le média que nous partageons le plus, et le seul véritablement #démocratique. La télé de service publique est un grand canal d’#éducation populaire, qui touche les enseignants comme les bergers. »
« Je prépare un livre, très difficile à faire, pour essayer de donner à comprendre le mot #féminisme et ses nombreuses significations aujourd’hui.
« J’aime beaucoup la #télé, et je ne regarde pas qu’Arte. C’est pour moi le média que nous partageons le plus, et le seul véritablement #démocratique. La télé de service publique est un grand canal d’#éducation populaire, qui touche les enseignants comme les bergers. »
« Je prépare un livre, très difficile à faire, pour essayer de donner à comprendre le mot #féminisme et ses nombreuses significations aujourd’hui.
C’est pour moi le plus grand des combats. »
« Le droit de vie et de mort professionnelles dont jouissent les dirigeants de chaînes n’est plus envisageable dans le monde actuel du travail : faire de la radio, c’est se donner à l’antenne, c’est un engagement complet, tout le temps. »
Un entretien mené par Laurence Le Saux, à lire en intégralité en cliquant sur le lien dans notre bio !
Photo @robertofrankenberg pour Télérama
« Le droit de vie et de mort professionnelles dont jouissent les dirigeants de chaînes n’est plus envisageable dans le monde actuel du travail : faire de la radio, c’est se donner à l’antenne, c’est un engagement complet, tout le temps. »
Un entretien mené par Laurence Le Saux, à lire en intégralité en cliquant sur le lien dans notre bio !
Photo @robertofrankenberg pour Télérama
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Merci pour votre passage