A 22 ans, elle compte déjà quatre majeurs dans sa besace à trophée.
Face à Karolína Muchová, la partition semblait écrite d’avance. Ultra-dominatrice porte d’Auteuil, la numéro 1 mondiale voyait se dresser sur sa route une joueuse qui ne pointait avant le tournoi qu’à la 43e place mondiale et qui n’avait jamais atteint une finale de Grand Chelem jusqu’à aujourd’hui. Tant le duel était sur le papier déséquilibré, la question n’était pas tant de savoir si Iga Swiatek allait gagner, mais combien de temps elle allait mettre pour se débarrasser de la Tchèque.
Face à Karolína Muchová, la partition semblait écrite d’avance. Ultra-dominatrice porte d’Auteuil, la numéro 1 mondiale voyait se dresser sur sa route une joueuse qui ne pointait avant le tournoi qu’à la 43e place mondiale et qui n’avait jamais atteint une finale de Grand Chelem jusqu’à aujourd’hui. Tant le duel était sur le papier déséquilibré, la question n’était pas tant de savoir si Iga Swiatek allait gagner, mais combien de temps elle allait mettre pour se débarrasser de la Tchèque.
Aussi surprenante que depuis le début de la quinzaine, Karolina Muchová a finalement fait plus que résister, poussant la Polonaise dans ses derniers retranchements avant de finalement s’incliner en 2 h 47. Bien plus longtemps que sa prédécesseure, l’Américaine Coco Gauff, avalée l’année dernière par la Polonaise en 1 h 08.
Sur le court Philippe-Chatrier, on a vu Karolina Muchová rentrer deux jeux trop tard.
Sur le court Philippe-Chatrier, on a vu Karolina Muchová rentrer deux jeux trop tard.
Un break concédé d’entrée sur des fautes bêtes à mettre sur le compte du stress et de la pression probablement, et voilà la Tchèque à devoir courir après le score.
Elle le fait plutôt bien, dérange la numéro 1 mondiale sur ses jeux de service. Iga Swiatek fait elle aussi quelques erreurs mais sort toujours derrière le point qu’il faut pour éviter d’être rejointe.
La Polonaise en remet une couche en fin de set sur le service de son adversaire et s’adjuge la première manche. 6-2 en 43 minutes.
👉 L'intégralité de l'article de Julien Lecot est à lire dans l'appli Libé
📷 @emmanuel.dunand / @afpphoto
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