L’homme de 47 ans, souffrant de schizophrénie bipolaire, est mort après un refus d’obtempérer dans le Loiret en 2017. Alors que la Cour de cassation doit se pencher sur l’affaire le 4 avril, sa famille regrette le manque de discernement des forces de l’ordre.
Eté 2017. Le séjour annuel de Luis Bico au Portugal, dont il est originaire, s’est mal passé. Il devait s’y reposer mais des travaux l’ont empêché de dormir. Le 15 août, après avoir avalé la route, seul, il débarque dans la périphérie de Montargis où il vit avec sa mère, restée elle au Portugal. Le lendemain, le centre médico-psychologique (CMP) identifie son agitation. Peut-être un début de crise chez cet homme de 47 ans qui souffre de schizophrénie bipolaire. «Mais au cours des trente ans de combat contre la maladie, on nous a toujours dit “on ne peut pas l’interner contre son gré s’il ne se passe pas quelque chose”. Il est donc resté en liberté», raconte Christelle Vendeiro-Bico, d’une voix que la tristesse éraille.
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✍️ Fabien Leboucq
📸 Cyril Zannettacci
(Extraits articles de presse) Libération, le Monde, le Figaro, L'Equipe, Télérama, Première, AFP, Reuters, AP News
lundi 1 avril 2024
La famille de Luis Bico tué par la police sort du silence
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