Disséquée depuis des mois comme phénomène de société, battant des records de récompenses et de popularité, capable d’influer sur la vie politique américaine ou sur l’économie des villes traversées par sa dernière tournée, « The Eras Tour », Taylor Swift rappelle, très régulièrement, qu’elle est une musicienne. Elle fera une halte à guichets fermés, du 9 au 12 mai, à Paris La Défense Arena, puis à Lyon, les 2 et 3 juin, au Groupama Stadium.
Fruit d’une productivité plus débordante que jamais, The Tortured Poets Department (seize morceaux, quinze de plus dans sa version The Anthology, disponible en téléchargement), est son onzième album, son cinquième en l’espace de cinq ans – sans compter, dans le même temps, les réenregistrements de quatre de ses précédents opus. Il contraste avec le ramdam médiatique charrié par celle qui dispute à Beyoncé et à Billie Eilish le titre de « reine de la pop ».
Pas ici, en effet, de rouleau compresseur de tubes clinquants, de surenchère de rythmes tape-à-l’œil. A l’instar de Fortnight, premier single et introduction de l’album, ralenti par un synthétiseur épuré, sur lequel se pose la mélancolie embrumée d’un duo avec le rappeur Post Malone, la bande-son est dominée par une délicatesse instrumentale se voulant en phase avec l’authenticité émotionnelle de ce que la star a présenté comme son « disque le plus cathartique ».
Photo: ROBYN BECK / AFP
(Extraits articles de presse) Libération, le Monde, le Figaro, L'Equipe, Télérama, Première, AFP, Reuters, AP News
lundi 22 avril 2024
Que vaut le dernier album de Taylor Swift ?
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Manu Payet au théâtre de la Madeleine avec Emmanuel 2
« Au fond, je suis fait pour raconter des histoires. » Alors il raconte, @manupayet Avec précision et générosité. Son enfance à La Réunio...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Merci pour votre passage