Le constructeur automobile, une société de conseil dans l’énergie et désormais le groupe de télécoms… Les révélations se multiplient sur les activités passées de la ministre de la Culture Rachida Dati, grassement rémunérée par de grandes sociétés parallèlement à son mandat de députée européenne, et qui la menacent d’un procès. De quoi contrarier ses ambitions parisiennes d’ici les municipales de 2026.
S’il n’y avait que le boulet Renault… Le problème, c’est que, depuis que l’ancienne ministre de Nicolas Sarkozy (2007-2009) est revenue au gouvernement le 11 janvier sous les auspices d’Emmanuel Macron, les langues se délient et se complaisent à raconter la «part d’ombre» de la revenante, murmure un élu, qui rappelle la «frénésie» dont elle aurait fait preuve, après avoir été exfiltrée de la chancellerie, pour décrocher des contrats avec de grosses boîtes, notamment en faisant le tour des patrons proches de la sarkozie. A l’époque, elle avait créé puis immédiatement dissout une société de conseil, préférant prêter serment, à l’instar de nombre de politiques. Devenue avocate en février 2010, elle a fermé son cabinet après être entrée dans le gouvernement de Gabriel Attal.
👉 Notre enquête exclusive dévoile un contrat avec Orange qui lui a rapporté plus de 800 000 euros.
➡️ Elle est à lire sur le site et l'appli de Libération
✍️ Laurent Léger
(Extraits articles de presse) Libération, le Monde, le Figaro, L'Equipe, Télérama, Première, AFP, Reuters, AP News
lundi 22 avril 2024
Rachida Dati une ministre pas tirée d'affaires
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