À partir du 27 mai, l’Assemblée nationale examinera un projet de loi pour créer une « aide à mourir », comme Emmanuel Macron s’y était engagé il y a presqu’un an devant la Convention citoyenne sur la fin de vie.
Sans parler de « suicide assisté », encore moins d’« euthanasie », ce texte ne crée « ni un droit nouveau ni une liberté », a précisé le chef de l’État à Libération et à La Croix.
Obéissant à de stricts critères, une avancée inédite est cependant consacrée par ce projet : des patients majeurs, atteints d’une maladie incurable et au pronostic vital engagé à court ou moyen terme, dont les souffrances sont réfractaires aux traitements et qui disposent d’un discernement plein et entier, pourront demander à un collège de médecins et de soignants de les aider à mourir.
À charge pour cette équipe de déterminer les modalités du geste − à l’hôpital, à l’Ehpad ou à domicile, geste accompli par le malade, un proche ou un soignant.
@marinacarreredencausse médecin et journaliste, incarnait en septembre un film enquête sur les législations mondiales en matière de fin de vie (“Pour que tu aies le choix”, de Magali Cotard).
Elle se réjouit de cette « incontestable avancée sociétale ».
Rencontre.
✍ Juliette Bénabent
📸 Photo Joel Saget / AFP
(Extraits articles de presse) Libération, le Monde, le Figaro, L'Equipe, Télérama, Première, AFP, Reuters, AP News
lundi 11 mars 2024
Rencontre avec Marina Carrere d'Encausse
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