Invitée de Libération à l’occasion de l’ouverture de la Maison Gainsbourg, l’actrice et chanteuse, qui a pioché parmi les photos réalisées au 5 bis rue de Verneuil, évoque ses souvenirs du lieu et les objets qui l’habitent.
💬 «Les toutes premières photos, c’était des Polaroïd, en 1991. J’ai commencé à en prendre pour figer le lieu, me souvenir de l’emplacement de chaque objet, au cas où… Comme des aides mémoires. Puis j’ai composé un album sur ma soeur Kate Barry et aussi un peu mon père. J’ai beaucoup photographié le cimetière où ma soeur est enterrée, et j’ai tourné un clip rue de Verneuil. C’était une première étape pour utiliser le lieu. Plus tard, il y a quatre ans, quand on s’est mis à espérer que le projet de musée voit le jour, je me suis dit que je voulais placer mon regard sur tous les objets que j’aime. C’était aussi un prétexte pour passer du temps rue de Verneuil. Sinon je m’y sentais toujours un peu intruse. Il y avait plein d’accidents, je ratais toujours la photo que je voulais prendre de tel ou tel objet et j’attendais que mes films soient développés pour m’en apercevoir. J’aime l’argentique. Si je travaillais en numérique, je ne m’en sortirais pas car il impose de faire des choix. J’aime l’accident, quand tout n’est pas maîtrisé.»
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📸 Charlotte Gainsbourg
(Extraits articles de presse) Libération, le Monde, le Figaro, L'Equipe, Télérama, Première, AFP, Reuters, AP News
mardi 19 septembre 2023
La rue de Verneuil dans l’œil de Charlotte Gainsbourg
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