« Pourtant, j’avais tout pour être de gauche », glisse-t-elle dans un demi-sourire, dont on peine à savoir ce qu’il cache.
De l’ironie, de la provocation, de la contrariété, un soupçon de regret, un brin de fatalisme, ou l’indéfectible envie de repartir au front médiatique et scénique, quoi qu’il lui en coûte de critiques et d’attaques ?
Avec son allure de trentenaire, @sophia.aram a intégré depuis peu le club des quinquas, bondissante dans ses baskets. Tout juste semble-t-elle un peu plus pressée qu’hier, un peu moins riante.
Ces dernières années, une autre petite musique s’est mise à circuler, notamment sur les réseaux sociaux.
Une musique qui susurre : « Sophia Aram est passée à droite »…
Elle résonne même chez ses homologues d’Inter, à l’antenne de laquelle il n’est plus rare d’entendre des vannes du type : « La gauche, c’est une chronique de Sophia Aram… d’il y a dix ans. »
Blagounette anodine ou excommunication idéologique ?
Un article signé Valérie Lehoux à lire sur Télérama.fr
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