mercredi 20 septembre 2023

Le portrait de Calogéro

 
L’interprète d’«En apesanteur», qui sort un nouvel album et s’essaie à la comédie, vante les joies d’une cinquantaine épanouie, son bonheur d’être père et son admiration pour Thomas Pesquet.

C’est vrai, on l’avait un peu oublié. Remisé au grenier des générateurs de premiers émois chez la midinette qu’on était à l’aube des années 2000, quand Gérald de Palmas geignait de n’avoir qu’une seule vie et qu’Indochine quémandait on ne sait quoi à la Lune. Lui, voix aiguë et manières policées, chantait un désir difficilement contenu dans les ascenseurs autant qu’il exorcisait, en duo avec Passi, la frustration des classes populaires, qui n’ont pas grandi face à la mer. Vingt ans plus tard, Calogero a troqué ses tenues presque torse poil pour un costume de dandy très british, raccord avec le thème de son neuvième album. Pas de pamphlet qui gratte : à 52 ans, il continue de creuser un sillon consensuel vieux comme le monde. Mièvre, transi, fini, platonique, terni ou encore à distance, l’audacieux chante l’amour, «le plus grand des gros mystères» ainsi orthographié : A.M.O.U.R.

➡️ Lire le portrait en entier sur Liberation.fr (lien en story)

✍️ Virginie Ballet
📸 Jérôme Bonnet/Libération

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