À Minneapolis, une libraire d’origine amérindienne est hantée par de vieux fantômes. Racisme, quête d’identité…
Louise Erdrich, lauréate du #prixPulitzer de la fiction, signe un nouveau roman au souffle brûlant.
Délicieuse originalité de ce livre : l’autrice américaine s’est amusée à s’y mettre en scène. N’attendez ni journal intime ni autofiction, ce n’est pas le genre de la maison. Non pas qu'elle méprise la méticuleuse étude de soi, elle se passionne au contraire pour toute expérience d’écriture tentée par d’autres.
Son amour illimité pour la littérature l’a d’ailleurs poussée, voilà déjà vingt-deux ans, à ouvrir une librairie indépendante à #Minneapolis, la ville où elle réside.
C’est dans le décor inchangé de cette #librairie que se déroule "La Sentence" (@editionsalbinmichel). La Louise en question s’est infiltrée dans la fiction pour y jouer son propre rôle, farceuse figurante cachée au milieu de personnages rocambolesques dont elle a le secret.
Retrouvez l'article de Marine Landrot sur Télérama.fr
Délicieuse originalité de ce livre : l’autrice américaine s’est amusée à s’y mettre en scène. N’attendez ni journal intime ni autofiction, ce n’est pas le genre de la maison. Non pas qu'elle méprise la méticuleuse étude de soi, elle se passionne au contraire pour toute expérience d’écriture tentée par d’autres.
Son amour illimité pour la littérature l’a d’ailleurs poussée, voilà déjà vingt-deux ans, à ouvrir une librairie indépendante à #Minneapolis, la ville où elle réside.
C’est dans le décor inchangé de cette #librairie que se déroule "La Sentence" (@editionsalbinmichel). La Louise en question s’est infiltrée dans la fiction pour y jouer son propre rôle, farceuse figurante cachée au milieu de personnages rocambolesques dont elle a le secret.
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