Dix ans après "Abus de faiblesse", autoportrait sado-maso aux allures de mot de la fin, la cinéaste #CatherineBreillat, 75 ans, resurgit tel un phénix avec "L’Été dernier", remake sec et maîtrisé d’un film danois inédit dans nos salles.
Soit l’histoire dérangeante, forcément, d’une quinqua installée — avocate, mariée, deux fillettes — cédant à un désir coupable pour son beau-fils de 17 ans.
D’une sensualité solaire, d’abord éclairée sous un jour ludique, puis fatidique, la comédie de mœurs cache en réalité une tragédie, et le portrait passionnant d’une fautive prête à tout pour ne pas déchoir.
Face au jeune #SamuelKircher, débutant très convaincant, l’immense @leadrucker réussit une sorte de prodige : en une seconde, un mouvement, elle passe de l’amante (é) perdue à la manipulatrice sans pitié, et du désordre amoureux à la défense de l’ordre bourgeois dans ce qu’il a de plus hypocrite. Dévastateur.
Retrouvez toutes les critiques des films en salles, sur Télérama.fr, en suivant le lien en bio.
📷 Jeanne Lapoirie/SBS Films
Soit l’histoire dérangeante, forcément, d’une quinqua installée — avocate, mariée, deux fillettes — cédant à un désir coupable pour son beau-fils de 17 ans.
D’une sensualité solaire, d’abord éclairée sous un jour ludique, puis fatidique, la comédie de mœurs cache en réalité une tragédie, et le portrait passionnant d’une fautive prête à tout pour ne pas déchoir.
Face au jeune #SamuelKircher, débutant très convaincant, l’immense @leadrucker réussit une sorte de prodige : en une seconde, un mouvement, elle passe de l’amante (é) perdue à la manipulatrice sans pitié, et du désordre amoureux à la défense de l’ordre bourgeois dans ce qu’il a de plus hypocrite. Dévastateur.
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📷 Jeanne Lapoirie/SBS Films
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