« Comme beaucoup d’enfants uniques, j’inventais des histoires seul chez moi. Puis j’ai eu envie de les partager à l’extérieur.
J’ai cherché des frères et des sœurs. »
Aussi désopilant aujourd’hui dans “Sentinelle” que dans les rôles de tendres idiots qui l’ont fait connaître, l'acteur est capable de surprendre. Il le prouvera bientôt chez des cinéastes aussi différents que Quentin Dupieux, Cédric Kahn ou le duo Nakache et Toledano.« Quand l’expérience en vaut la peine, je suis capable de tout. Je me fous de mon image, parfois j’accepte des projets contre l’avis de mon entourage. J’adore aller dans des univers très différents du mien. »
Durant notre entretien, il n’a de cesse de répéter son désir de tout explorer, tout jouer, sans s’imposer de limites. Pour ne surtout pas être enfermé dans un type de rôles, comme il l’a vécu dans sa jeunesse.
« À l’école, j’étais le clown de service. Quand on faisait du théâtre et que je voulais jouer des rôles dramatiques, on ne me prenait pas au sérieux et ça me vexait beaucoup. »
À 43 ans, #JonathanCohen semble être à un nouveau tournant dans sa carrière. Pitre sensible, jongleur curieux, funambule parfois sans filet et Monsieur Loyal de la bande, il occupe désormais les moindres recoins d’une piste aux étoiles qui lui appartient.
Retrouvez l'entretien, signé Sébastien Mauge, en intégralité sur Télérama.fr
📷 @jonathancohens, par @fannydegouville pour #Télérama
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