Le comédien-animateur-réalisateur de 48 ans revendique son identité créole et son statut de «daron» nostalgique.
Il faut parvenir à l’attraper. Physiquement. A le suivre. Verbalement. Ne pas le laisser partir trop loin dans le délire au risque de métamorphoser l’entretien en un sketch XXL. @manupayet s’agite en permanence. Une intranquillité joyeuse doublée d’une hyperactivité qui se traduit par un emploi du temps diabolique entre un tournage pour une série Netflix, une tournée avec son hilarant seul en scène Emmanuel 2 et quelques séquences de doublage pour le prochain épisode du film d’animation Kung-Fu Panda. Il débarque dans une chambre de l’hôtel Bowmann situé à quelques mètres de chez lui, dans le VIIIe arrondissement de Paris. Hôtel dans lequel il a atterri une nuit alors qu’il avait oublié ses clés et qu’il n’a pas osé réveiller sa femme. La déconvenue lui a permis de sympathiser avec le patron. Il est comme ça, Manu Payet. Un mec avenant avec qui on a envie de boire un coup, de passer une soirée à rire de nos travers. Bavard et bouillonnant, il en oublie d’ailleurs son entorse à la cheville, pendant que nous, nous observons son corps nous raconter son histoire.
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📸 @MartinColombet
✍️ Eva Roque
(Extraits articles de presse) Libération, le Monde, le Figaro, L'Equipe, Télérama, Première, AFP, Reuters, AP News
jeudi 29 février 2024
Le portrait de Manu Payet
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Manu Payet au théâtre de la Madeleine avec Emmanuel 2
« Au fond, je suis fait pour raconter des histoires. » Alors il raconte, @manupayet Avec précision et générosité. Son enfance à La Réunio...
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