En 2044, une femme est contrainte de revivre mentalement ses existences passées. Léa Seydoux subjugue dans “La Bête”, de Bertrand #Bonello, à la fois romanesque et romantique, qui mêle les genres de #cinéma avec audace.
Le réalisateur esthète de "L’Apollonide" et de "Saint Laurent", effectue un spectaculaire double salto. À la fois, il nous plonge dans une #sciencefiction dystopique et nous invite à croire aux vies antérieures.
Mais derrière son foisonnement #baroque, le film raconte une seule histoire, simple et puissante, de sa première à sa dernière image. #LéaSeydoux incarne l’unité de l’ensemble et endosse magnifiquement la cause défendue.
Retrouvez la critique de Louis Guichard en intégralité sur Télérama.fr
📷 Carole Bethuel/Les Films du Bélier/My New Picture
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