Dans les médias et sur le terrain, la documentariste juive d’origine maghrébine tente, depuis le 7 octobre, de dépasser les assignations à un camp, en s’inspirant d’un mouvement féministe et pacifiste israélo-palestinien.
Ne pas se laisser enfermer dans un camp, en finir avec les anathèmes et tenter de se parler au milieu d’un débat miné, ce serait possible ? La démarche de la trentenaire, juive d’origine marocaine par son père et algérienne par sa mère, fait rêver autant qu’elle laisse songeur. A minima, titille la curiosité. Sur les réseaux, où se joue aussi son combat, on la vilipende autant qu’on la salue. Trop bisounours, dépolitisée, privilégiée, déconnectée des réalités… Si elle ne la vit pas très bien, sa nouvelle médiatisation la force à avoir la peau dure. «La communauté juive me reproche de les trahir, et les musulmans d’être trop juive pour comprendre les Palestiniens. Mais la paix, ce n’est pas la neutralité. Paix et justice vont ensemble», revendique celle qui tisse des liens avec des féministes antiracistes du monde entier, y compris du 93 en la personne d’Assa Traoré.
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📸 @lucileboiron
✍️ Clémence Mary
(Extraits articles de presse) Libération, le Monde, le Figaro, L'Equipe, Télérama, Première, AFP, Reuters, AP News
mercredi 3 janvier 2024
Le portrait d'Hanna Assouline
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