Avant “La Vie de ma mère”, de Julien Carpentier, en mars, et le dernier film de la regrettée Sophie Fillières, “Ma vie, ma gueule”, la voilà, aujourd’hui, en mère juive malade et très inquiète de l’avenir de la banlieue où elle vit dans le remarquable premier long métrage de Noé Debré, “Le Dernier des Juifs “.
Elle y est formidable de contradictions et d’apathie.
Tout le contraire de l’Agnès chanteuse qui irradie de puissance et de joie quand elle interprète du fado ou de la bossa-nova.
Ses multiples talents n’ont pas fini d’occuper la place. L’enfance à Sarcelles, les étés dans un kibboutz… @agnesjaoui se livre comme rarement.
✍ Un entretien signé Frédéric Strauss et Guillemette Odicino à lire sur Télérama.fr
📸 Agnès Jaoui, le 11 janvier 2024, à Paris. Photo @patrickswirc pour Télérama/Maquillage Delphine Jaffard/Coiffure Juliette Saintpierre
(Extraits articles de presse) Libération, le Monde, le Figaro, L'Equipe, Télérama, Première, AFP, Reuters, AP News
mercredi 24 janvier 2024
Agnès Jaoui se livre dans Télérama
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