Katell Quillévéré fait partie de ces réalisatrices qui réforment doucement mais sûrement et profondément le cinéma français, comme Rebecca Zlotowski, Céline Sciamma ou Justine Triet, par le choix des sujets de leurs films, mais aussi par leur engagement concret ou leur parole.
Lorsqu’elle était encore étudiante en cinéma et en philosophie, la cinéaste a ainsi travaillé pour la SRF, Société des réalisatrices et réalisateurs de films, dont elle est revenue, plus tard – entre 2013 et 2016 –, partager bénévolement la présidence.
Cette association milite, entre autres choses, pour la diversité et pour la parité dans le cinéma et l’audiovisuel.
Dans son nouveau long métrage, “Le Temps d’aimer”, dévoilé au dernier Festival de Cannes et en salles à partir du 29 novembre, Katell Quillévéré fait plus que jamais preuve d’une ambition exaltante.
Elle y évoque plusieurs décennies de la société française, depuis le lendemain de la Libération, et éclaire à sa manière subtile des grands sujets intemporels tels que le couple, l’orientation sexuelle et la parentalité…
Entretien signé Louis Guichard
(Extraits articles de presse) Libération, le Monde, le Figaro, L'Equipe, Télérama, Première, AFP, Reuters, AP News
mercredi 29 novembre 2023
Katell Quillévéré
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Manu Payet au théâtre de la Madeleine avec Emmanuel 2
« Au fond, je suis fait pour raconter des histoires. » Alors il raconte, @manupayet Avec précision et générosité. Son enfance à La Réunio...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Merci pour votre passage