La journaliste de 37 ans poursuit son travail sur l’alimentation et ses implications sociales dans un essai malicieusement appelé «Mangez les riches».
Le regard est perçant, précis, presque clinique ; le débit rapide, articulé, quasi-mitrailleur. Nora Bouazzouni n’a pas le temps des artifices, qu’ils soient d’apparat (un trait d’eye-liner pour toute coquetterie) ou rhétoriques (elle va droit au but, sans chichis). Cette journaliste indépendante, également autrice et traductrice, s’emploie depuis plus de cinq ans à croiser le genre et l’alimentation, sujet de ses deux premiers livres, Faiminisme et Steaksisme. Résultat : «Aujourd’hui, dès que Sandrine Rousseau fait une sortie sur le barbecue, on m’appelle.» Cet automne, troisième round : avec Mangez les riches. La lutte des classes passe par l’assiette (Editions @nouriturfu), la nourriture est passée au crible de la classe sociale. «Rien qu’avec ce titre, la droite va m’en mettre plein la gueule !» sourit-elle.
Lire la suite du portrait de @norabzh sur Liberation.fr (lien en story)
📸 Marie Rouge pour Libération @lesjouesrouges
✍️ Copélia Mainardi
(Extraits articles de presse) Libération, le Monde, le Figaro, L'Equipe, Télérama, Première, AFP, Reuters, AP News
vendredi 20 octobre 2023
Nora Bouazzouni
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La une de Libération du week-end
Guerre en Ukraine : la stratégie du voisin fou. C'est la une de @Libe ce week-end. Tir de missiles balistiques, menace d’un conflit...
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