Début août, une quarantaine de jeunes Ukrainiens ont été accueillis dans la Marne pour tenter de se changer les idées loin de la guerre avec la Russie. Mais les bombes et les morts demeurent bien présents dans les esprits.
«Chaque Ukrainien qui n’est pas sur place a toujours peur pour le pays et pour sa famille», explique Veronika Dombrovska, 18 ans, dans un français presque parfait. Pendant leurs vacances, elle a endossé le rôle de traductrice entre les accompagnantes ukrainiennes et Marianne Aubriet, la directrice du Val d’Ante, la structure où les jeunes ont logé. A leur arrivée, l’ambiance était plutôt morose. Alors, pour tromper leur chagrin, elle leur a concocté un programme aux petits oignons. «Au bout de 48 heures, ça s’améliore un peu, ils rient plus, et ont plus le sourire. Mais leurs yeux brillent de larmes dès qu’on parle de l’Ukraine», décrit la directrice. Parmi les jeunes ukrainiens, tous ont au moins un parent ou un proche engagé dans l’armée. Plusieurs sont des enfants de soldats disparus ou morts au combat.
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📸 Stéphane Lagoutte @stephanelagoutte
✍️ Izia Rouviller
(Extraits articles de presse) Libération, le Monde, le Figaro, L'Equipe, Télérama, Première, AFP, Reuters, AP News
mercredi 14 août 2024
"J'ai hâte que la guerre finisse pour voir mon père plus souvent"
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