La semaine précédente avait été particulièrement intense pour le parquet argentin. Après avoir entendu la plaignante mardi 6 août, cela avait été au tour des joueurs, Hugo Auradou et Oscar Jegou, jeudi 8 août, de faire leurs déclarations face au procureur chargé de l’enquête, Dario Nora.
A l’issue de cette journée, Me Mauricio Cardello, également avocat de la plaignante, avait convenu que « concernant les faits, les temps et les formes, les deux parties ont la même version. Ce qui se discute, c’est le consentement ».
Un consentement qui est au cœur de cette affaire. Les faits auraient eu lieu de 5 h 30 à 8 h 30, le 7 juillet, entre les quatre murs de la chambre 603 de l’Hôtel Diplomatic, que les joueurs partageaient. Aux yeux du parquet, si l’on se réfère au document étayant la décision de mise en liberté, les images de vidéosurveillance de la boîte de nuit, le Wabi, où Hugo Auradou a rencontré la plaignante, et celles de l’hôtel, où était logée l’équipe de France lors de son séjour à Mendoza, indiqueraient ce consentement.
Le ministère public met également en avant une série de messages audio échangés entre la plaignante et l’une de ses amies, présente dans la boîte de nuit. Certains de ces messages visiblement sélectionnés pour aller dans le sens d’un consentement ont été publiés par les médias locaux.
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(Extraits articles de presse) Libération, le Monde, le Figaro, L'Equipe, Télérama, Première, AFP, Reuters, AP News
mardi 13 août 2024
Les deux rugbymans Français accusés de viol en Argentine sont libres mais sous contrôle judiciaire
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