Dès mardi matin, les négociations ont repris. Les délégations chargées de rédiger le projet se retrouvent au siège des écolos, celles des candidatures au QG de campagne du PS. Sur le projet, «ça avance bien, on a beaucoup de points d’accords», assurent plusieurs participants. Malgré des crispations, Place publique, le petit parti de Raphaël Glucksmann, reste engagé dans le processus commun. Pendant ce temps-là, au QG du PS, on regarde la carte électorale. Les insoumis, qui avaient négocié 350 circonscriptions pendant l’accord de la Nupes, en demandent cette fois 300. Les socialistes, assis sur leurs 14 % aux européennes, veulent un rééquilibrage plus conséquent. A l’extérieur, une rumeur circule : des insoumis menaceraient de ne pas investir leurs «frondeurs», critiques de la stratégie de Mélenchon. «Ils veulent seulement les intimider, rassure un socialiste. Personne n’acceptera ça.»
📸 Denis Allard
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