Première femme sacrée meilleure pâtissière du monde, l’hyperactive a le courage des timides, l’inventivité des inquiètes.
@ninametayer, 35 ans, est devenue le 25 octobre meilleure pâtissière du monde, titre décerné par l’Union internationale des boulangers et pâtissiers à Munich. Elle est la première femme à accéder à cette marche du podium. Une place inattendue aussi, car «dans les brigades, aux postes de pâtissières exécutantes, ce sont des femmes, mais aux postes à responsabilités, ce sont des garçons».
Celle qui est désormais la pâtissière la plus célèbre du monde est tout sauf une petite chose abattue. Elle parle en souriant, et son plaisir mêlé de surprise d’avoir gagné se voit encore sur son visage, un mois après la remise. La boulangerie, puis la pâtisserie, ont métamorphosé celle qui, à 18 ans, a découvert qu’elle pouvait «faire du pain, et donc fabriquer quelque chose» : «C’était la première fois où je me suis vraiment sentie compétente. Quand je ramène des baguettes aux gens, je suis très fière. Ça a changé ma vie.» Née à La Rochelle de parents qui furent un temps journalistes gastronomiques, elle dit avoir baigné toute son enfance «dans le goût des bonnes choses. Manger était un rituel, un moment important dans notre famille».
Lire le portrait en entier sur Liberation.fr
📸 @robertofrankenberg
✍️ Marie-Eve Lacasse
@ninametayer, 35 ans, est devenue le 25 octobre meilleure pâtissière du monde, titre décerné par l’Union internationale des boulangers et pâtissiers à Munich. Elle est la première femme à accéder à cette marche du podium. Une place inattendue aussi, car «dans les brigades, aux postes de pâtissières exécutantes, ce sont des femmes, mais aux postes à responsabilités, ce sont des garçons».
Celle qui est désormais la pâtissière la plus célèbre du monde est tout sauf une petite chose abattue. Elle parle en souriant, et son plaisir mêlé de surprise d’avoir gagné se voit encore sur son visage, un mois après la remise. La boulangerie, puis la pâtisserie, ont métamorphosé celle qui, à 18 ans, a découvert qu’elle pouvait «faire du pain, et donc fabriquer quelque chose» : «C’était la première fois où je me suis vraiment sentie compétente. Quand je ramène des baguettes aux gens, je suis très fière. Ça a changé ma vie.» Née à La Rochelle de parents qui furent un temps journalistes gastronomiques, elle dit avoir baigné toute son enfance «dans le goût des bonnes choses. Manger était un rituel, un moment important dans notre famille».
Lire le portrait en entier sur Liberation.fr
📸 @robertofrankenberg
✍️ Marie-Eve Lacasse
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Merci pour votre passage