Des cages d’escalier de la cité des Bosquets, à Montfermeil, au tapis rouge des Oscars, via les marches du Festival de Cannes pour les “Misérables”, il était une fois l’odyssée sociale de @ladjly.
En novembre 2019, lors d’une projection organisée à l’Espace 93 de Clichy-sous-Bois, la marmaille des grands ensembles était venue voir l’effet de son reflet sur grand écran.
Avec son film phénomène (plus de deux millions d’entrées pour 2 millions d’euros de budget), le réalisateur offrait un shoot d’espoir et d’adrénaline.
Un dérivatif à la colère, ce kérosène des émeutes.
Quatre ans ont passé. L’irrésistible ascension du cinéaste, 45 ans, a connu des revers.
Mais ce fils d’immigrés maliens, père éboueur, mère au foyer, n’en a pas terminé avec la banlieue.
Pour la sortie ce mercredi de “Bâtiment 5”, son deuxième long métrage (trois fois le budget du précédent), qui dénonce les compromissions de la classe politique autour d’un projet de réhabilitation urbaine, il est attendu au tournant.
Rencontre avec un cinéaste déterminé.
✍ Mathilde Blottière, Caroline Besse
📸@fannydegouville pour Télérama
(Extraits articles de presse) Libération, le Monde, le Figaro, L'Equipe, Télérama, Première, AFP, Reuters, AP News
mercredi 6 décembre 2023
“Bâtiment 5” ce mercredi au cinéma
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