Le portrait de ce mercredi dans Libération est consacré à Judith Godrèche. Après dix ans à Los Angeles, l’actrice et réalisatrice revient avec Icon of French Cinema, série diffusé sur Arte qui ravive avec humour les fantômes de son passé d’enfant-muse du cinéma d’auteur. Extrait du portrait :
Premier rôle à 12 ans, nommée aux César à 17 ans avec la Désenchantée de Benoît Jacquot… le réalisateur qui l’a révélée dans les Mendiants et avec qui elle a vécu en couple pendant six ans, à partir de ses 14 ans – il en avait 25 de plus.
«J’étais terrorisée à l’idée de me lever le matin pour marcher. Je pensais que j’avais besoin de son aval, qu’il me dise que j’avais le droit», révèle avec du recul la femme de 51 ans, qui n’avait pourtant, à l’époque, «aucune conscience de ce qui se passait».
«Ni moi ni personne dans mon entourage n’a cherché à formuler les choses.» Pas même ses parents, tous les deux psys, qui ont émancipé leur fille unique à 15 ans afin de l’achat d’un appartement avec «l’homme en question». Judith Godrèche n’en prononce jamais le nom dans sa série.
✍️ Sibylle Grandchamp
📷 @nolwennbrod
(Extraits articles de presse) Libération, le Monde, le Figaro, L'Equipe, Télérama, Première, AFP, Reuters, AP News
mercredi 27 décembre 2023
Le portrait de Judith Godrèche
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