Comme Paloma Moritz, ou Camille Etienne dans un registre plus militant, Salomé Saqué appartient à un groupe de jeunes femmes «pas si nombreuses» qui donnent de la voix sur les plateaux contre ceux qui s’assoient à leurs yeux sur les alertes du Giec.
«On ne peut pas comparer du nucléaire avec un Kinder Bueno !» lance-t-elle à Jean-Marc Jancovici dans C Politique en septembre, après que l’ingénieur a rapproché les risques de l’atome et ceux de la junk food.
Fin 2021, dans 28 Minutes, elle déclenche l’hilarité d’Etienne Gernelle du Point (46 ans) et Jean Quatremer de Libération (65 ans) pour avoir dit : «Je fais partie de la génération qui va vivre l’effondrement.»
La séquence, qu’elle tweete en plein boum du film Don’t Look Up où se déroule une scène similaire, lui vaut buzz et sollicitations médiatiques.
Ce qui hérisse Quatremer : «Elle nous a collé une étiquette de vieux et de climatosceptiques.
Et mon intime conviction, c’est que c’était volontaire !»
Il voit dans la jeune femme, «brillante», une militante «parce qu’elle défend une cause».
Saqué réfute, dit s’appuyer toujours sur des faits sans jamais prendre parti.
Même si le terme la gêne un peu, elle assume d’être présentée comme «engagée», mais «pas plus qu’un journaliste économique sur BFM».
Mardi soir, sa discussion vive avec le maire LR de Cannes David Lisnard sur le plateau de Quotidien fait le tour des réseaux sociaux.
Le portrait complet, par @tsardier, est à lire dans l'app Libération (lien en story) et dans l'édition de Libération en kiosques jeudi 16 mars.
📸 @romixalizee
Le portrait complet, par @tsardier, est à lire dans l'app Libération (lien en story) et dans l'édition de Libération en kiosques jeudi 16 mars.
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