Marcel Amont, le “Mexicain” du music-hall, est mort
Le chanteur fantaisiste qui incarnait la France bon enfant des années 60 est décédé dans la nuit de mercredi à jeudi à 93 ans.
Son public, fidèle, suivait avec nostalgie cet amuseur populaire depuis son tube “Le Mexicain”.
Droit comme un I, sec comme un sarment et gai comme un pinson, tel fut Marcel Amont.
Droit comme un I, sec comme un sarment et gai comme un pinson, tel fut Marcel Amont.
Silhouette svelte et voix fine aux reflets d’acier, figure régulière et bon enfant de la France des années 60, celle des tournées estivales de plage en casino, celle d’un petit écran qui fascinait sans dévorer encore.
Doux pays où Trenet plaisait toujours et où le charmeur sans mystère de “Bleu, blanc, blond” devenait sans hic l’amuseur populaire du “Mexicain.”
Mais avant de mettre sur toutes les lèvres ces succès innocents, le jeune Marcel, né Miramon le 1er avril 1929 dans une modeste famille bordelaise – père employé de la SNCF, mère infirmière –, monté à Paris en 1950, fit ses classes comme les copains dans les cabarets où était passé Brassens, où il côtoyait Gainsbourg ou Gréco.
✍️ Un hommage signé François Gorin à lire sur Télérama.fr
📸 Marcel Amont en 1966.
Mais avant de mettre sur toutes les lèvres ces succès innocents, le jeune Marcel, né Miramon le 1er avril 1929 dans une modeste famille bordelaise – père employé de la SNCF, mère infirmière –, monté à Paris en 1950, fit ses classes comme les copains dans les cabarets où était passé Brassens, où il côtoyait Gainsbourg ou Gréco.
✍️ Un hommage signé François Gorin à lire sur Télérama.fr
📸 Marcel Amont en 1966.
Photo Stan Wiezniak/Universal Music France/Gamma
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