Comme les signes en sont, en réalité, déjà perceptibles, il faut s’attendre à ce qu’une pluie de déclarations vibrantes concernant cette ressource vitale déferle sur le siège de l’ONU dans les prochains jours. Il n’y sera pas seulement question d’aide humanitaire et de développement durable, mais aussi de droits humains et de santé, de sciences, de coopération, d’agriculture, d’énergie, de biodiversité, de climat, de paix.
La gestion de la ressource hydrique est un thème universel, complexe, et politiquement si sensible que la précédente édition, la première du genre, remonte à… 1977.
Car, à la différence du changement climatique ou de la biodiversité, elle ne donne pas lieu à des rencontres intergouvernementales régulières. Chefs d’Etat, ministres, banques de développement, représentants d’entreprises, militants humanitaires, scientifiques et ONG devraient donc affluer à New York, où 6 500 participants sont attendus.
Photo : Dans le réservoir du barrage de Cerron Grande, encombré de déchets plastiques, de verre et d’autres matériaux, à Potonico (Salvador), le 9 septembre 2022.
MARVIN RECINOS / AFP
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