Maintes fois annoncé et (enfin) disponible ce 1er novembre, “Songs of a Lost World”, le premier album de The Cure depuis seize ans, s’était mué en véritable arlésienne. Smith, soucieux de ne rester fidèle qu’à lui-même, attendait le bon moment.
Lignes de basse puissantes et souples, frappes de batterie toujours plus lourdes, nappes de claviers enveloppantes... Derrière son quasi-mur du son, ce nouvel opus concentre tous les éléments qui ont consolidé l’identité du groupe.
Sans oublier, bien sûr, les bouleversantes implorations écorchées de Robert Smith.
Un quatorzième album qui conduit son auditeur, en huit plages au climat similaire, jusqu’au bout de la nuit d’une incurable mélancolie.
Notre critique, signée Hugo Cassavetti, est à lire sur Télérama.fr
📸 Shirlaine Forrest/WireImage
(Extraits articles de presse) Libération, le Monde, le Figaro, L'Equipe, Télérama, Première, AFP, Reuters, AP News
vendredi 1 novembre 2024
"Song of a lost World" le 16ème opus de Cure
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