Et si la version hivernale du «summer body» consistait à ne pas se priver constamment des plaisirs gourmands et à accepter les variations de poids comme le témoin des âges et des moments de la vie ?
Mais en attendant, winter (body) is coming. Il me semble qu’accepter les variations de poids, plutôt que de lutter contre, quelque part entre «l’automn body» et le «spring body», pourrait faire partie des plaisirs de la vie. Plutôt que de les surveiller, les contrôler et les «combattre» (le vocabulaire guerrier est partout dans le monde des régimes), les kilos perdus ou gagnés devraient nous fournir des indices sur notre état intérieur. Ces variations suivent les chagrins, les bonheurs, ou témoignent juste du temps que l’on peut consacrer à soi ; ils sont le témoin des âges et des moments de la vie. Parfois, manger sain est la dernière chose qui nous ferait du bien, et les mets sucrés et gras remplissent une fonction que le reste de la vie ne peut pas nous offrir. Pourquoi se le refuser si fort ? La ligne des corps raconte ces passages. S’autoriser un peu de repos et de douceur pendant cette période sans soleil, n’est-ce pas une façon plus émouvante d’encaisser la vie comme elle vient ?
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📸 Marie Mons/VOZ'Image
✍️ Marie-Eve Lacasse
(Extraits articles de presse) Libération, le Monde, le Figaro, L'Equipe, Télérama, Première, AFP, Reuters, AP News
mardi 12 novembre 2024
Ode au "winter buddy" ou comment faire copain-copain avec son corps d'hiver
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