Depuis l’annonce, en octobre, de la cession du Doliprane à un fonds d’investissement américain, la pilule a du mal à passer. Chez les employés de l’usine, c’est d’abord un sentiment de trahison ou d’écœurement qui domine. « On gagne des millions, mais ils veulent gagner des milliards, lâche Christophe Quillet, élu de la CGT, qui a passé quarante et un ans chez Sanofi dont près de la moitié sur le site de Lisieux. Pendant le Covid, on a bossé comme des fous, les directeurs nous ont dit qu’on était les meilleurs du monde... Et aujourd’hui, on nous vend à des Américains. » Les partis politiques de tout bord se sont émus de voir menacée cette icône du patrimoine industriel hexagonal à l’image de la 4L ou de la cafetière Moulinex. Rien ne prédestinait pourtant ce simple comprimé, longtemps délaissé lorsque l’aspirine dominait le marché, à devenir le médicament préféré des français. Nous en retraçons l’histoire, dans un article à lire en cliquant sur le lien linkin.bio de notre profil. #LeMonde
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(Extraits articles de presse) Libération, le Monde, le Figaro, L'Equipe, Télérama, Première, AFP, Reuters, AP News
mardi 12 novembre 2024
Doliprane la saga du cachet chéri des français
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