C’était un moment historique.
Un moment de liesse, forcément. Pour la première fois de son histoire, l’Espagne est devenue championne du monde de foot dimanche, après que ses joueuses ont battu l’Angleterre (1-0), à l’ANZ Stadium de Sydney, en Australie. Lors de la remise des médailles aux joueuses, le président de la fédération espagnole, Luis Rubiales, serre d’abord dans ses bras l’attaquante Jennifer Hermoso, avant d’attraper sa tête à pleines mains, et de l’embrasser sur la bouche, visiblement contre son gré. Elle semble rester immobile – un état de sidération habituel dans ce genre de situations. Peu de temps après, la numéro 10 de la Roja dira, en souriant, dans un live diffusé sur Instagram depuis les vestiaires : «Ça ne m’a pas plu, hein !»
Les images de ce baiser non consenti ont depuis été largement diffusées, commentées, conspuées. Luis Rubiales a depuis tenté de se justifier, pour le moins maladroitement, en fustigeant les «idiots et gens stupides» ayant pointé du doigt son attitude, incapables selon lui de «voir le positif».
Le billet complet de Virginie Ballet est à lire sur le site de Libé (lien en story) et dans notre édition en kiosques mardi.
Les images de ce baiser non consenti ont depuis été largement diffusées, commentées, conspuées. Luis Rubiales a depuis tenté de se justifier, pour le moins maladroitement, en fustigeant les «idiots et gens stupides» ayant pointé du doigt son attitude, incapables selon lui de «voir le positif».
Le billet complet de Virginie Ballet est à lire sur le site de Libé (lien en story) et dans notre édition en kiosques mardi.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Merci pour votre passage