En transformant son mini-format de trentenaire des années 2010 en élucubrations d’un quadra sur quarante minutes, la série de Kyan Khojandi devient singulièrement ennuyeuse.
Quinze ans plus tard, Bref revient sous les mensurations plus bedonnantes d’un drama à la papa, où les épisodes ne font plus deux mais trente à quarante minutes. On a beau comprendre instinctivement combien le format d’une œuvre participe à définir ses possibles (imaginez Game of Thrones en épisode de deux minutes), il y a quelque chose de surprenant à voir combien l’inflation soudaine de Bref transforme la perception qu’on se fait de la série. La nervosité du montage, la voix off, l’écriture pleine de figures de style, le casting : tout ressemble à autrefois, et pourtant l’ensemble ne sonne plus pareil.
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✍️ Marius Chapuis
📸 Disney
(Extraits articles de presse) Libération, le Monde, le Figaro, L'Equipe, Télérama, Première, AFP, Reuters, AP News
vendredi 14 février 2025
Sur Disney + "Bref 2" est trop long
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