Les Syriens pique-à nouveau et fument la chicha au milieu des ruines de l’ancienne Palmyre, autrefois profanée par les djihadistes mais toujours impressionnante, et ouverte au public après le renversement du président Bachar al-Assad.Connue
des Syriens comme la « Perle du désert », Palmyre abritait certains des monuments classiques les mieux conservés du Moyen-Orient avant la guerre de 13 ans en Syrie.Les ruines renommées de la ville, un site du patrimoine mondial de l’UNESCO, ont été envahies à deux reprises par le groupe État islamique, qui a détruit de nombreuses structures parmi les plus célèbres.
Bien qu’ils aient été chassés, le gouvernement syrien et ses alliés, y compris la Russie et l’Iran, ont ensuite établi des bases militaires à proximité, interdisant ainsi l’accès au public.
Le danger plane toujours sur Palmyre. Le directeur général des antiquités et des musées en Syrie, Nazir Awad, a déclaré à l’AFP qu’il était préoccupé par les fouilles illégales.Il
y a des gardes, a-t-il dit, « mais je ne pense pas qu’ils puissent faire leur travail dans toute la mesure du possible, à cause des fouilles aléatoires et barbares sur de très vastes zones ».
Les personnes à la recherche d’objets anciens à piller utilisent des machines lourdes et des détecteurs de métaux qui sont « destructeurs ». ajoutant que les fouilles « détruisaient des couches de sites archéologiques, sans rien laisser derrière eux ».
📷 Omar Haj Kadour
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