L’affaire dans laquelle est embourbé le Premier ministre doit servir d’électrochoc. La présence de pédocriminels et le recours à la violence dans un établissement scolaire, voilà un sujet que l’Etat doit prendre à bras-le-corps.
Qu’en savait l’actuel Premier ministre, qui semble déployer plus d’énergie à dénigrer les enquêtes de presse et la parole d’une lanceuse d’alerte pour que ce dossier ne devienne une affaire Bayrou plutôt, qu’à prendre la mesure de ce dossier tentaculaire qui interroge largement l’action de l’Etat durant toutes ces années ? S’il se retrouve à ce point au centre des questionnements, ce n’est pas tant parce qu’il est actuellement le chef du gouvernement, mais parce qu’il est un baron local depuis des décennies, qu’il était ministre de l’Education nationale au moment du premier dépôt de plainte en 1996 et qu’il a scolarisé trois de ses enfants dans cet établissement privé catholique où sa femme, leur mère, donnait des cours de catéchisme ?
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📸 Amaury Cornu/Hans Lucas via AFP
✍️ @jbouchetpetersen
(Extraits articles de presse) Libération, le Monde, le Figaro, L'Equipe, Télérama, Première, AFP, Reuters, AP News
lundi 24 février 2025
Le malaise Bayrou et l'urgence de sortir du déni
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