Adepte d’un cinéma sentimental et castagneur, le réalisateur et acteur se révèle gentiment arnaqueur à la ville.
Dix-sept ans que l’Amour ouf trotte dans la tête de l’«éperdument romantique». Malgré des pauses en caisson de décompression, notamment pour réaliser le Grand Bain, dans lequel on découvre que la dépression du mâle sous Xanax est soluble dans le chlore à paillettes de la natation synchronisée, l’obsession a été capitale. Grossièrement résumée, l’intrigue tient en deux lignes : une lycéenne orpheline de mère tombe sous le charme d’un délinquant en herbe à mob pétaradante. Ces Roméo et Juliette nordistes vont se perdre, avant de se recroiser après une éclipse carcérale d’une décennie. C’est un peu Quand Harry rencontre Sally, version Dunkerque. Mais ce long métrage au budget stratosphérique, 32 millions d’euros, est aussi la déclaration d’un cinéphile à son art et la métaphore de la passion quand elle vous satellise loin. En couple avec Alizée Guinochet, créatrice d’une marque de bijoux, notre interlocuteur étale peu sa vie privée.
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✍️ Nathalie Rouiller
📸 @matzazzo
(Extraits articles de presse) Libération, le Monde, le Figaro, L'Equipe, Télérama, Première, AFP, Reuters, AP News
lundi 14 octobre 2024
Le portrait de Gilles Lellouche
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