Souvent cataloguée actrice de comédies, la trentenaire, large palette à son actif, veut revenir au cinéma d’auteur.
En vingt-trois ans de carrière, @sabrinaouazani a eu le temps de cocher pas mal de cases. Le cinéma d’auteur, elle qui déboule dans le milieu au hasard d’un casting sauvage pour l’Esquive, d’Abdellatif Kechiche, la comédie avec Taxi 5, l’action violente avec Kali. Elle fait le grand écart entre le contemplatif Des Hommes et des Dieux et le potache Pattaya, entre le délicat Break et la série survoltée Plan cœur.
«C’est ça, sa force, juge sa meilleure amie, Sana Amri. On voit des comédiennes qui font toujours la même chose et, à un moment, on est lassé. Sabrina est multicasquette, c’est un boulot monstre de faire ça.» D’autant que l’intéressée, boule d’énergie qui réalise ses propres cascades, se présente sur chaque plateau comme à un nouveau boulot, apprenant tantôt l’arabe palestinien, tantôt le ju-jitsu ou l’escrime. Pourtant, l’étiquette qui colle aux basques de Sabrina Ouazani, c’est la comédie. Voire la comédie qui tache. «C’est les films qui font le plus d’entrées, donc on me ramène toujours à ça. Ce qui est drôle, c’est que pendant longtemps, on ne voulait pas me voir en casting pour des comédies», dit-elle de sa voix grave.
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📸 Daria @svertilova /Libération
✍️ Elsa Maudet
(Extraits articles de presse) Libération, le Monde, le Figaro, L'Equipe, Télérama, Première, AFP, Reuters, AP News
mardi 21 janvier 2025
Le portrait de Sabrina Ouazani
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