Pierre Ferracci, autoproclamé patron « de gauche » et « homme de compromis », sera-t-il le premier dirigeant de club à pouvoir rivaliser avec le PSG dans la capitale? L’accord conclu à l’automne avec la famille Arnault lui donne trois ans pour y travailler. Un joli coup pour cet homme de réseaux pragmatique et ambitieux qui s’apprêterait, à 72 ans, à passer les rênes du groupe Alpha, le cabinet de conseil spécialisé dans les relations sociales qu’il a fondé. Jongler avec les sujets économiques, politiques et sportifs, voilà la marque de fabrique du Corse. Et chacun reconnaît son implication au sein du club parisien, notamment à la recherche d’investisseurs. Lors de la conférence de presse du PFC scellant l’union, Antoine Arnault, prenait des accents philanthropiques : « L’idée est de rendre à la société, à Paris, à notre pays, ce qui nous a été donné. » Retrouvez notre enquête en cliquant sur le lien linkin.bio de notre profil.
📷 @kamilzihnioglu #PourMLeMagazineDuMonde
✏️ Yann Bouchez
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