En d’autres temps, on aurait probablement traversé l’Atlantique pour interroger une telle légende. Aujourd’hui – tant mieux pour la planète, tant pis pour la chaleur humaine −, notre rencontre avec Neil Young, exclusive pour la France, se déroule à distance, sur Zoom, écran éteint.
Charge à l’imaginaire de recomposer la silhouette du célèbre Loner. Sa voix unique, nasale, presque chevrotante, impose d’emblée sa présence. Malgré les milliers de kilomètres, Neil Young, 77 ans, est bien là, au bout du fil, discret mais spontané, fidèle à l’image qu’on se fait de lui.
💬 “Pour mes concerts, je ne me déplace plus qu’en bus. L’avion, c’est fini”
L’ex-hippie n’a peut-être plus la folle inspiration de ses jeunes années, mais il puise son infatigable énergie dans un activisme passionné. Après les désastres de l’agriculture industrielle (“The Monsanto Years”, 2015), Neil Young a fait de la crise écologique son cheval de bataille.
“World Record”, son nouvel album studio, le quarante-deuxième d’une carrière pléthorique, dont une quinzaine avec ses fidèles “Crazy Horse”, se veut un plaidoyer pour une prise de conscience de l’urgence climatique.
✍ Un entretien à lire en intégralité sur Télérama.fr
📷 Photo DH Lovelife
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