mardi 20 décembre 2022

Le sacre de Messi



Ce que les sélections argentines et tricolores ont donné à voir dimanche lors de la finale de Coupe du monde qui les opposait, au Lusail Stadium de Al Daayen, défie tout ce qui nous a été donné de voir dans un contexte à peu près similaire. 
L’Albiceleste a gagné le match deux fois. 
Mais elle a dû aller le chercher une troisième fois (3-3, 4-2 aux tirs au but) au bout d’une séance de frappes où le gardien de la sélection sud-américaine, Emiliano «Dibu» Martínez, sera rentré dans la tête – on l’a senti depuis les tribunes avant que les intéressés ne s’exécutent – des deux tricolores à avoir manqué leur essai, Kingsley Coman et Aurélien Tchouaméni.

Le foot ne doit rien à personne. 
Dimanche, il aura cependant déposé un titre mondial au pied de Lionel Messi, petit bonhomme de 1m69 affichant 35 années au compteur et qui sera sorti avec une stature de géant d’une finale invraisemblable, dont on a l’impression qu’elle a fondu deux ou trois matchs dans la même partie, épilogue délirant d’une Coupe du monde qatarie qui l’aura été tout autant.

L'analyse complète de Grégory Schneider est à retrouver dans l'application Libération

📸 Julian Finney / Getty / AFP

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