vendredi 4 septembre 2015

Migration d'un enfant

Lorsque je marcherais le long de la plage, que j'écouterais le bruit du courant et se faire échouer les vagues, je ne regarderais plus l'immensité de la mer que j'aurais devant moi, comme avant.

Lorsque je marcherais le long de la plage et que mes pieds seront humecter de cette eau venant du large et me rafraîchir mon propre moi, ma pauvre petite personne et que j'entendrais ce raffut que peut faire cette mer quand elle s'échoue sur la berge, non je ne regarderais plus l'immensité de la mer que j'aurais devant moi, comme avant...

Ainsi va la vie...

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