samedi 7 juillet 2012

Un 8 juillet 1982...


Parfois, certaines joutes sportives sortent complètement de l’ordre du rationnel.

Ce 8 juin 1982 l’équipe de France de football emmener par le carré magique : Platini, Giresse, Tigana et Fernandez entre autres avaient rendez-vous avec l’histoire du sport avec un grand H !

Affronter l’Allemagne de l’Ouest comme on l’appeler encore a cette époque, en demi-finale de la coupe du monde.

Un véritable « Panzer » une machine que rien ne peut arrêter devant des bleus en pleine maturité footballistisque et le talent de Michel Platini…!

Mais il était dit que cette soirée estivale du 8 juillet 1982 aller laisser des traces bien au-delà du sport…

Le premier but Allemand nous démontrer une nouvelle fois qu’une machine bien huilée pouvait faire mouche ce que fit Pierre Littbarski.
C’était sans compter sur la détermination des bleus qui allait égaliser sur penalty par Platoche.

Et la ou ce match aurait pu être une rencontre dites classique, allait passer des rires aux larmes.

57eme minute : Patrick Battiston lancer comme une flèche fut percuter de plein fouet par l’élégant  Schumacher gonfler à bloc bien avant le match pour « manger » du Français !
Cela refit naître des sentiments germanophobes, qui faisait rappeler pour les plus vieux a l’Allemagne nazie et oui a ce point !

Qui ne se souvient pas de cette image ou notre défenseur faillit perdre la vie sur cette action ou l’Allemand ne se préoccupait d’après ces dires que du ballon !

Qui ne se souvient pas de ce tir a la toute dernière minute de Manuel Amoros qui fit trembler la barre tranversale, s’il n’y’avait eu quelques centimètres de moins, nous aurions goûter a la grande finale !

Et puis la fameuse prolongation, nous entrions en plein rêve sur la reprise de volée de Marius Trésor et que dire de ce tir d’Alain Giresse qui crucifier, a nos yeux, Harald Schumacher et toute sa clique…

Mais il était dit que ce 8 juillet fit d’une rencontre de football un moment majeur du sport collectif.

Entrée du capitaine emblématique Karl Heinz Rummenigge, peu de temps pour les remettre sur les rails.

Nous nous disions avec une certaine fébrilité que ceux-ci sauvait en partie la maison mais voilà que Fischer remit les deux équipes a égalité…

Insensé, incroyable, inimaginable tous les adjectifs auraient pu être accolés a ce match hors normes. 

Puis vint le moment des tirs aux buts, le calice jusqu’à la lie…

Il fallut un long moment pour que tout le monde aussi bien, les acteurs que les supporters ne digère cette défaite, qui a nos yeux sonnait malgré tout comme une victoire.

Michel Hidalgo vit dans les vestiaires des adultes pleurer comme des enfants inconsolables, jusqu’à même deux footballeurs que l’on envoya sous la douche... tout habillé !

Il était dit, vraiment que cette soirée du 8 juillet 1982 se termine sur un goût…d’inachevé…!


Ainsi va la vie...

1 commentaire:

  1. Bonsoir Yvon
    J'ai visionné sur dailymotion votre vidéo " Je n'ai rien qu'un amour " . J'aimerai savoir le nom de la chanteuse . Cette chanson est très belle . Vous pouvez me contacter sur mon blog .
    Merci d'avance
    Cordialement Nicole20

    RépondreSupprimer

Merci pour votre passage

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